Il semble dès lors très curieux que les tabasseurs n’aient pas été mis
en garde à vue (le tabassage d’un violeur reste malgré tout un
tabassage)
: vous semblez méconnaître comment çà marche dans certaines institutions.
L’affaire DSK, pour ne parler que d’elle, ne se serait pas passée comme elle s’est passée là-bas ici : un acte est jugé tout de suite, non en fonction de l’acte lui-même, mais aussi en fonction du coupable présumé ainsi que de la victime présumée.