Macron me fait penser à Gerhard Shröder.
Ce chancelier allemand, qui comme le petit prince, avait mis fin à l’état providence en Allemagne.
Depuis janvier 2009, Gerhard Schröder est membre du directoire du groupe
pétrolier russo-britannique TNK-BP, fonction pour laquelle il touche
une rémunération de 200 000 euros par an.
En août 2017, la presse annonce que l’ancien chancelier devrait prendre
fin septembre un poste de « directeur indépendant » chez Rosneft, société d’État russe spécialisée dans l’extraction, la transformation et la distribution de pétrole.
Gageons que Jupiter vise encore plus haut.