@ Krokodilo
Ce que je nomme « anglais international » est effectivement du « broken english », un peu dans le genre de celui avec lequel je me suis familiarisé durant mes années d’informatique. Mais ce n’est pas un problème : avec un tel langage, il est possible de se faire comprendre un peu partout sur la planète et même, cerise sur le gâteau, au Royaume-Uni ou en Irlande !
Que demandent les peuples ? Exactement cela : une langue qui leur permet de bosser à l’international et de faire du tourisme !
L’indonésien et le breton unifié qui s’est construit dans des conditions analogues ne sont pas des langues artificielles car elles sont basées sur des dialectes proches qui ont une histoire linguistique. Ce n’est pas le cas de l’esperanto !