xana 29 janvier 2019 19:21

Pour moi l’Anglais (que je parle et écris couramment) est la langue de mon ennemi.

Tous les anglophones ne sont pas mes ennemis, bien sûr. Mais mon ennemi, celui de ma famille et de ma patrie, est anglophone. Ceux qui tentent de nous corrompre sont tous des anglophones. Ceux qui s’immiscent dans les affaires de mon pays, et aussi ceux qui se font élire par des trafics sur les votes sont des anglophones (ceux-là parlent Français avec leurs sujets, mais Anglais avec leurs maîtres).

Je réagirais de la même façon si la langue de l’ennemi était le Mandarin ou l’Allemand. Je l’apprendrais, parce que mon père disait qu’il vaut mieux connaître la langue de son ennemi.

Mais en tous cas je ne conseillerai JAMAIS d’adopter la langue de son ennemi.

Pour moi l’espéranto est amusant mais ce n’est certainement pas la bonne solution. De nos jours on pourrait avoir des traductions simultanées dans toutes les langues du monde. Il n’y aurait qu’à le faire, mais voila : Tous ceus qui décident pour nous sont déjà passés à l’ennemi, et ont décidé A NOTRE PLACE que nous trahirons notre culture pour celle de leurs maîtres. Donc la traduction instantanée, ce sera pour les Russes et pour d’autres qui ont encore du sang dans les veines. Nous, eh bien nous nous soumettrons, comme s’il était vain de résister.

C’est normal. Les pays vaincus apprennent toujours la langue des vainqueurs.


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