Ce genre de propos est à la mode.
De Villers vient de sortir un bouquin dans lequel tout y passe : les Mémoires apocryphes, les
dollars, la CIA, les agents, le passé qu’on efface, les allégeances qu’on
dissimule, les hautes trahisons, la fin d’un mythe, quoi !
« Ils travaillaient pour d’autres et
savaient ce qu’ils faisaient, ils voulaient une Europe sans corps, sans tête et
sans racines. Elle est sous nos yeux. »
Sauf que, même pour de
Villers qui ne fait pas dans la dentelle, c’est un peu plus compliqué. L’Europe
serait une fabrication américaine qui aurait récupéré à son profit les
capacités techniques allemandes pour mettre en place une Europe dépendante
économiquement, militairement et politiquement.
Vous vous trompez de
cible.