Ils ne semblent pas toujours se rendre compte à quel point ils
contrôlent le discours public sur des questions telles que l’immigration
et la xénophobie
: oh que si.
Ils savent parfaitement ce qu’ils font : le choix des sujets, le choix des intervenants lors des débats ou assimilés, le ton (adjectifs, ligne générale positive ou négative, etc) à utiliser.
Au moins il faut reconnaître au journaliste P Cohen sa sincérité quand il s’en ait pris à F Taddéi, car les autres font pareil mais d’une manière hypocrite.
Les journalistes ont une part de responsabilité dans le formatage des esprits, en tout cas plus que nous sur agvx avec un pélé et deux tondus.