Francis, agnotologue JL 12 mai 2019 18:38

J’ai tenu bon jusque là : ’’Mais tout a explosé quand les banques se sont mises par la double écriture (créance à l’actif identique à la dette au passif) à prêter de l’argent qu’elles n’avaient pas.’’

 

 C’est amusant !

 

Plus sérieusement, vous devriez lire « La Déconnomie » un essai paru en novembre 2016, par Jacques Généreux.

 

Un regard nouveau, et passionnant.

 

On y apprend que le néolibéralisme et la mondialisation c’est du storytelling. De fait, les marchéistes, les adeptes de la théorie du marché, ne sont pas des néolibéraux ni des néoclassiques mais des conservateurs réactionnaires qui ont pris le pouvoir en France dans les années 80.

 

Pour Jacques Généreux, la morale de la fable mondialiste (le storytelling TINA) se résume en une phrase « D’un pays disparu, n’attends point de secours. Dans le vaste monde, tu es ton seul recours. »

 

 Curieusement, mais pas tant que ça au fond, cette morale rejoint le discours haineux envers les États d’Ayn Rand ! Bah ! Tous les chemins mènent à Rome, dit-on !

 

 Ps. Au sujet de la solitude, c’est à voir : Gilbert Spagnolo le dit mieux que moi dans son article en modération que je vous suggère de lire.


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