On a d’abord traité - moi le premier - l’électeur FN de beauf raciste.
Puis, on lui a signifié qu’il était manipulé, que si la devanture avait
changé, le fond restait le même, mais que bon, on allait lui apporter
nos lumières pour qu’il réfléchisse un peu mieux. On l’a donc d’abord
traité d’enculé, puis d’imbécile. Et ben putain, tu sais quoi ? Ni
l’insulte, ni le mépris n’ont réussi à faire baisser leur nombre. Étonnant non ?