Deux énormes scandales que les
deux auteurs auraient pu (pourrait encore pour l’un d’eux) dénoncer sans
détours :
- alors que l’expansion, en
France et en Europe, de la plus violente des religions est favorisée par les
gouvernants, les responsables du christianisme
continuent de justifier et pérenniser leur propre croyance dans une
prétendue « bonne violence » prétendument « voulue par Dieu ».
- alors que la surpopulation de
la planète, la surconsommation et la surproduction y détruisent les moyens
naturels d’y vivre, cette évidence est niée par les gouvernants, qui continuent
de soutenir en théorie, et d’alimenter dans la pratique les causes du désastre.
C’est une condamnation publique de ces deux monstrueux
comportements que j’attends et que j’espère encore d’Edgar Morin, pas seulement
des réflexions, fussent-elles excellentes, dans l’abstraction des livres. Cette
réalité-là n’est nullement mystérieuse et complexe.