@Pauline pas Bismutée
Joli périple également de cette australienne ! Merci de me la faire connaitre
Quant à son ravitaillement, il n’a rien d’anormal... Préparer un tel périple et décider d’arriver au bout demande une organisation. Pechkov aussi prévoyait ses étapes et son itinéraire avait été étudié afin qu’il puisse trouver gîte et souper chaque soir. Avec plus ou moins de bonheur parfois ^^
L’avantage des chameaux est leur sobriété. Nul besoin de les abreuver chaque jour, contrairement aux chevaux.
On pourrait croire que ce ne fut pas un problème pour Pechkov, dans un pays comme la Russie où coulent maints fleuves et rivières... Eh bien ce le fut plus d’une fois ! Les chevaux sont délicats et refusent de boire une eau douteuse. Dans bien des endroits, le Cosaque a du faire fondre de la neige pour abreuver Serko car l’eau locale (source ou rivière) était malodorante ou croupie.