Les règles sont claires. Il y a les prédateurs, et il y a les proies.
Ce
n’est ni un droit ni un devoir, c’est une réalité, pour l’un comme pour
l’autre.
Pour un carnivore, manger une proie est dans l’ordre des
choses.
Il n’y a pas de vie sans mort ni souffrance.
Les animaux de proie sont constamment stressés, et ces quelques minutes
en abattoir des animaux domestiqués ne sont pas contraires à la
situation dans la nature.
L’homme est un chasseur cueilleur à la base.
Manger de la viande est bon pour la santé, le véganisme est contraire à la biologie humaine, il provoque carence, dépression et souvent agressivité.
La clé est simple : manger de la viande, mais de meilleure qualité
et issue d’une production aussi respectueuse des animaux et de la
nature que possible.