Albert123 18 septembre 2019 19:04

« il est indispensable d’éduquer. Eduquer les garçons en ne leur offrant pas des jeux sexués, en leur expliquant que ni les tâches ménagères, ni les études d’ingénieur n’ont un sexe. »


le cerveau en a un, et il faut résolument qu’une femme soit dotée d’un cerveau à prédominance masculine pour suivre des études d’ingénieur.


il faut surtout éduquer les adeptes de la théorie du genre à cesser de valider une théorie aussi fumeuse que bidon.


« A propos, on relève là un paradoxe. La femme doit être belle, attirante, sexy, sophistiquée ou naturelle, mais au top  »


c’est la femme elle même qui se l’impose cette coquetterie en tout, fringue, maquillage, coiffeur, teinture, bijoux, décolleté, chaussure à talons ...


elle peut aussi se livrer, comme la vaste majorité des hommes, à des passions sans rapport aucun avec l’accouplement. Encore faudrait il que la plupart d’entre elle ne soient pas uniquement concentrées sur la recherche du meilleurs parti et la satisfaction de leurs critères hypergamiques.


le seul paradoxe qui apparaît est encore celui qui germe dans des esprits peu structurés qui n’assument pas leurs propres choix de vie


« Car, c’est vrai, quoi, quand on provoque, on ne doit pas s’étonner du résultat ! Des femmes m’ont soutenu ce discours. »


précision : des femmes lucides vous ont tenu ce discours, mais pour celles qui cumulent victimisation en tout et responsabilité en rien on comprend pourquoi cette simple relation de causalité est problématique.

pour le reste quand les esprits femelles arrêteront de trouver que l’archétype du bourrin (qui finira par lui taper dessus) constitue l’idéal masculin, elles n’auront plus à se plaindre des violences d’un conjoint qu’elles ont souhaitées avoir elles même.

si l’homme propose c’est la femme qui dispose, aussi l’homme ne tend à proposer que ce que la femme est prêt à valider.





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