Cyril22 13 janvier 2020 22:12

ça parait probant, et ça corrobore ma remarque sur un autre article concernant la décision étonnante d’avoir laissé ouvert le trafic aérien civil alors qu’il y avait état d’alerte maximum.

La faute directe ne peut être imputée à un adversaire avec lequel l’état de tension dure depuis des mois et contre lequel il y avait eu une riposte récente, mais à des défauts de coordination, communication et commandement dans la défense aérienne iranienne -notamment les forces additionnelles avec des dispositifs de tir autonomes-. L’adversaire est inévitablement un des éléments de cause, du fait de l’escalade des ripostes.


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