velosolex velosolex 2 mars 2020 23:25

@Legestr glaz
Le problème, c’est qu’il n’y a pas qu’une affaire. Celle ci étant aberrante d’ailleurs. Car faut il le rappeler, Polanski et c’est avéré, a drogué et abusé sa victime, la sodomisant entre autre, pour parler crument.
Entre 69 et 77 il n’y a que l’année 71 et 74, où l’homme n’a pas été accusé de passages à l’acte sur la plupart du temps des mineures ; On peut dire que c’est des racontars, c’est sûr...
Mais il faut une sacré foi du jardinier, quand on jette un coup d’œil sur chaque affaire. Et rien de plus facile à moins de vouloir se bander les yeux. 
Il y a là plus qu’une intime conviction. Des faits répétitifs et étayés, qui se sont poursuivis très tard. 
. https://bit.ly/2Q4ws66 « Sans J’accuse", je serais restée dans mon silence, comme je le fais depuis quarante-quatre ans », affirme Valentine Monnier.
Encore une mytho, diront les groupies de Polanski
C’est vrai que le titre du film est un vrai pied de nez aux victimes. Polanski en effet avait parlé que le thème de Dreyfus lui tenait à cœur, car voyant en lui un écho de sa propre vie…... Ca lui est revenu en plein dans la gueule. C’est le problème de ce genre de personnalité, surtout quand la célébrité leur tombe dessus. Manipulateur, pervers, ils finissent souvent par prendre trop d’assurances, et mépriser trop leur victime, faisant l’erreur de trop au casting. 


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