velosolex velosolex 9 avril 2020 09:27

@Taverne
La nature retrouve très rapidement ses droits dés que l’homme disparait. Les exemples ne manquent pas, entre les no man’ land entre les frontières, et les zones laissées à l’abandon après une catastrophe ;
Elle le fait avec une qualité et une capacité que nos crânes d’œufs seraient bien en mal de théoriser. L’homme est évidemment l’élément pathogène. Et ses facultés se potentialisent avec le nombre, et ses nouvelles lubies : Tourisme soif de posséder toujours plus grande dans un univers fini, amenant la destruction en une génération ou deux des trois quart des animaux et de la flore….
Ce qu’il faut faire, je m’en fous. A vrai dire l’épidémie s’arrêtera d’elle même une fois qu’elle aura fait ses trois petits tours et puis s’en va. La seule question importante commence le jour d’après, mais on peut y réfléchir dés maintenant.
Comment remettre en question les trois postulats qui nous envoyé dans le mur : La bêtise, le manque d’anticipation, la volonté de pouvoir. Qui se centrifugent et qui ont donné place à la manipulation, à la soif de posséder, amenant la destruction de toutes les barrières. Tout ce potentialise, dans ce monde endémique. Nous sommes sur le bord du vide, avec le feu au cul, alors que l’été s’approche, et ses imbéciles finis disant que tout cela n’est qu’une illusion d’optique, et que la croissance doit reprendre. 


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