Il faudrait, faudra, vivre en plus avec l’idée que de nouveaux virus, peut-être plus dangereux, de diffusion plus rapide, plus difficiles à combattre, peuvent apparaitre, être prêts à fermer immédiatement toutes les frontières, arrêter tous les voyages internationaux avec tous les problèmes de rapatriements, d’abandons dans des lieux divers que cela pose, avoir une autonomie suffisante, des stocks en produits stratégiques ou nécessaires.