Il va falloir rouvrir le dossier sur le VIH !
Il a débuté dans la communauté gay aux USA, et il a fallu que les gays descendent manifester dans la rue avec des pancartes pour que Ronald Reagan réalise, au bout du 50ème mort, qu’une épidémie commençait.
Question : comment le virus est passé d’un singe porteur sain en Afrique aux USA ?
C’est un steward d’après les US
Problème : on n’a pas trouvé de steward dans les premiers morts du VIH aux USA !
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Etats-Unis : Des babouins s’échappent d’un institut de recherche biomédicale
Etats-Unis : Le singe échappé d’un laboratoire de recherches a été retrouvé
EVASION Le centre de recherches a indiqué que l’animal faisait partie d’un « groupe de reproduction » et qu’il ne portait « aucune maladie transmissible »
C’est du pipeau, les labos ne s’occupent pas de reproduction ils achètent les primates
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’’EN 1911 , le ministère de la Défense français installe une base secrète d’essais d’armes chimiques et bactériologiques dans l’oued Namous (« namous » signifie moustique en berbère et en arabe) nommée B2-Namous et située dans un no man’s land au sud de Beni Ounif et de la frontière marocaine.
Plusieurs campagnes d’essais de dispersion de toxiques sont menées par l’armée française en Algérie, à partir de 1930. Les premiers essais en grand furent réalisés dans la région de Chegga, puis à partir de 1931, sur le polygone de tir du centre de recherche et d’essais chimiques gigantesque de Béni-Ounif, alors composé de trois sites dénommés B1, B2 et B3. Par la suite, le centre B2 connu sous le nom de B2-Namous fut exclusivement dévolu aux essais des armes chimiques et bactériologiques. En 1935, le centre fut rebaptisé Centre d’expérimentation semi permanent de Béni-Ounif, ou CESP. De nombreuses campagnes de tir de munitions chimiques, d’essais de bombes chimiques d’aviation, d’épandages de vésicants par avions, de création de vagues gazeuses toxiques par dispersion en chandelle, d’essais d’armes chimiques nouvelles, ont lieu jusqu’en 1940.
Le polygone d’essai
de B2-Namous couvrant une superficie de 100 × 60 km est alors le second
plus vaste centre d’expérimentation d’armes chimiques au monde après
celui de l’Union soviétique. Il est remis en activité en 1965 à
l’initiative du président Charles de Gaulle, à la suite de la tenue d’un
Conseil de défense et de sécurité nationale et dans le cadre du
renouvellement du contrat de bail préalablement établi par les accords
d’Évian de 1962[4]. La délégation algérienne accepte la réouverture de
B2-Namous à condition que les autorités d’Alger bénéficient d’une
couverture civile pour ne pas avoir à traiter avec l’armée française.
Concrètement, le site d’essai doit être officiellement géré par une
entreprise civile, et c’est la société industrielle Sodéteg (la «
Société d’études techniques et d’entreprise générale », du groupe
Thomson) qui obtient ce contrat
La divulgation de ce secret
militaire et diplomatique est le fait du journaliste français Vincent
Jauvert du magazine Le Nouvel Observateur qui en a fait la une de son no
1720 d’octobre 1997 « Exclusif : Quand la France testait des armes
chimiques en Algérie ». Le 21 octobre 1997, interpellé à ce propos par
Hervé Brusini, journaliste de la chaîne télévisée France 2, le ministre
de la Défense d’alors (1960-1969), Pierre Messmer, déclare :
« Tous les pays, qui avaient une certaine forme d’évolution industrielle et scientifique, s’efforçaient de mettre au point des types d’armes et en particulier, les armes incapacitantes, c’est-à-dire des armes qui, en quelque sorte, paralysent celui qui respire ou reçoit sur la peau le produit chimique en question. »’’
La suite sur : https://www.facebook.com/Pagethagastoise/videos/1476705599118816/
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