Un peu plus loin il donne ses conseils : (ph de la salive ?)

Q : Que recommanderiez-vous à une personne qui se retrouve... Eh bien, nous avons déjà convenu que le virus est dans la population générale. Nous ne pouvons plus vraiment le contrôler.
R : Vous demandez des recommandations simples ? Tout d’abord, prenez bien soin de la muqueuse nasale et de la région oropharyngée.
Q : De la laver à l’eau salée ?
R : Oui bien la laver à fond. Mais « lors » - des médicaments en vente libre et des nettoyants pour les sinus pour arrêter l’écoulement nasal et pour un lavage efficace. C’est-à-dire que la sensation d’une respiration libre et sans obstruction devrait venir après tout. La deuxième chose est la zone oropharyngée derrière la luette. Et là aussi, il faut faire un bon lavage de la région oropharyngée.

Q : Il ne suffit donc pas de l’asperger dans le nez, il faut se gargariser au fond de la gorge...
R : Oui, et le rincer. Et ne soyez pas paresseux. Faites-le jusqu’à ce que vous ayez la sensation d’avoir de bonnes voies respiratoires. De toutes les façons, c’est la plus efficace. Je conseille aux personnes qui peuvent se permettre d’acheter un nébuliseur ou...
Q : Vous voulez dire que c’est un aérosol, n’est-ce pas ? Avec des ultrasons ?
R : Oui. Et il permet de mettre en place une bonne hygiène des voies respiratoires supérieures. Quand une toux se déclenche, il est souhaitable de continuer à appliquer les médicaments que nous prescrivons aux patients souffrant d’asthme bronchique. Il s’agit soit du Berodual, soit du Ventolin, soit du Salbutamol. Parce que ces médicaments améliorent la clairance mucociliaire, ils soulagent les spasmes.
Q : Vous voulez dire expectorant ? Mucolytique ACC ?
R : Oui, ACC et Fluimucil. Et ce que vous ne pouvez pas faire, c’est utiliser des glucocorticostéroïdes. Ils augmentent rapidement la réplication du virus.
Q : Qu’est-ce que cela signifie ?
R : Les corticostéroïdes sont la prednisone, la méthylprednisolone, la dexaméthasone, la bétaméthasone.
Q : Vous n’avez donc pas besoin de vous injecter des hormones, relativement parlant, si vous avez une infection virale ?
R : Il existe des stéroïdes inhalés. Mais il y a des patients asthmatiques qui sont malades et qui suivent cette thérapie. Mais cela doit être une solution sur mesure. Bien sûr, 2020 restera dans l’histoire médicale comme l’année d’une nouvelle maladie. Nous devons admettre que nous avons compris cette nouvelle maladie. Deux nouvelles pneumonies sont arrivées. La première est la pneumonie, qui est causée par les e-cigarettes, les vapes, et maintenant aux États-Unis, des gens sont morts de cette...
Q : ...plusieurs milliers d’adolescents. Oui, c’est un fait bien connu, et la façon de le traiter n’est pas claire. Vous les mettez sous respirateur - ils meurent immédiatement.
R : Oui. Comprenez-vous quel est le problème ? Ici, ils développent ces changements dans les poumons qui se produisent au cours de ce processus. Ils semblent être similaires (aux changements provoqués par le coronavirus). Il s’agit du syndrome de détresse respiratoire, dont nous parlons. La littérature soulève des questions très sérieuses : le rôle des coronavirus dans la transplantation. L’un des problèmes est l’oblitération de la bronchiolite, qui survient surtout lors de la transplantation.
Q : Une transplantation pulmonaire ?
R : Oui, les poumons et la moelle osseuse. Les cellules souches. En fait, tout est bien fait, tout est normal, la personne a répondu à cette thérapie, et le problème de l’insuffisance respiratoire commence à se développer. Et la cause de ces bronchiolites a été attrapée - c’est un coronavirus... C’est-à-dire que de nouvelles connaissances sont arrivées.