Chère Ariane Walter ! 

Moi qui dis souvent que le salut nous viendra -grandement- de la Femme, un peu comme Jean Ferrat. Si vous saviez comme votre article me fait du bien ! Les premières fois que j’ai vécu le malheur, que dis-je l’horreur de voir cette sauf erreur chronicacateuse-journaleuse de mauvaiseherbe de mes 2, je me suis de suite posé les questions : comment ont-ils osé ? Comment osent-ils ? Comment ose-t-elle ? Comment est-on tombé si bas ? En-dessous du caniveau, sur ordres, avec préméditations ... ? Avec tant de force crédits ! Quand la fera-t-on taire ? Quand sera-t-elle tondue en place publique ? Quand donc passera-t-elle en justice ? Quand justice sera-t-elle enfin rendu au peuple, je veux dire à l’homme normal ?

Je ne suis pourtant pas du genre à aimer la vengeance, inutile en fait, mais...trop, c’est trop.

Merci et encore merci mille fois ! Vous avez fait là oeuvre de salubrité publique contre oeuvre d’enculébriété publico-privée. Vous avez soigné, sans le savoir, des cœurs meurtris ! Et je mets un point d’exclamation après le dernier point justement car je suppose que vous ne me croirez pas complètement sérieux : eh bien si, j’avoue ne pas m’abreuver de BFMTV bien sûr, sinon je ne serais pas ici, mais lorsqu’il m’arrive de m’acoquiner avec un merdia pour du factuel, surtout, chaque mensonge, chaque omission, chaque attitude barbieriste-mauvaiseherbiste me tue un peu, me fait désespérer de l’humanité, coup après coup.

Eh bien voilà donc, ici, du grand air, de l’herbe verte. Il y a même des fleurs ! ça c’est fort !

Cordialement.