Et lorsque sonnerait l’alarme
S’il fallait reprendre les armes
Mon cœur verserait une larme
Pour Gottingen, pour Gottingen
Le dernier couplet nous invite à tempérer fermement la nostalgie doucereuse du reste de la chanson. C’est pas à une prof de français que je vais apprendre ce que le verbe falloir signifie, entre obligation et nécessité...
Et puis, son cœur « verserait une larme » C’est bien gentil ma fois. Peut être même seulement une larmichette ??? La version allemande est quand même plus empathique :
« Doch sollte wieder Waffen sprechen
Es würde mir das Hertz zerbrechen »
S’il m’en souvient bien, zerbrechen signifie plutôt « casser » voire « fracasser » que pleurer...