velosolex velosolex 3 novembre 2020 22:11

Imaginez qu’en rentrant dans la chambre de Piedro, vous auriez trouvé non du LSD, une seringue, et des joints, vous vous seriez trouvé en face de brochures islamiques, d’une kalash trainant par terre, et du drapeau islamique. 

S’il se détruit, au moins il ne détruit pas les autres. 

Enfin peut être vous, quand même. Faudrait pas que votre famille parte en couille avec une focalisation excessive sur le problème

Les déclarations de votre fils se situent dans le champ de l’enfant rebelle, petit roi, pensant maitriser sa consommation, vous mettant dans le défi, et pratiquant la surenchère .

. J’en ai connu ainsi qui finissaient plus malades que leurs gosses. Apprenez les limites de ce que vous pouvez faire. Effectivement, s’il est adulte, on ne peut le soigner contre son grés. Si c’était le cas, le soin ne servirait à rien. Inutile de s’en prendre aux institutions. Il me semble que vous êtes dans un scénario de père tout puissant, face à un enfant pervers, si je puis me permettre de dire, du moins dans le champ inconscient, sans doute, autant l’un que l’autre.

Mais lui manipule clairement. S’affirmer, c’est montrer ses limites, pas être dans une négociation impossible, dans des scénarios de jeu, à savoir si une substance est addictive ou non. Tout toxique crée deux dépendances au moins ; un chimique, l’autre au plaisir, c’est la plus redoutable. Mais il y en a d’autres, celle qui vous lie à une groupe, à une pratique festive, au dépassement de ses possibilités mentales et physiques. Sans parler des bénéfices secondaires qui le place au centre du jeu. 

Remarques qui valent ce qu’elles valent, dans l’évaluation suggestive et limitée de ce que vous écrivez., et de mon ressenti. Mais il me semble que si vous écrivez, c’est pour susciter des réactions


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