Clark Kent Séraphin Lampion 22 août 2020 17:13

l’état d’urgence sanitaire offre au pouvoir un double avantage

 contrairement au « terrorisme » qui a servi de prétexte aux mêmes types de mesures sécuritaires et coercitives, il est à géométrie variable et peut être déclenché quand on veut, où on veut, à l’échelle qu’on veut, sans preuves, en fonction de la température sociale

 le syndrome qu’il engendre va au-delà du syndrome de Stockholm qui, pour les otages d’un terroriste, produit des effets paradoxaux : dans le cas du « confinement sanitaire pour pandémie », ce sont les futures victimes des mesures liberticides qui devancent leur bourreau et lui reprochent même parfois de ne pas en faire assez

mais ces deux aspects, pour importants qu’ils soient, ne sont sans doute pas le principal objectif du stratagème en cours. Le véritable but est d’amener des opérateurs éconmiques productifs à avoir recours à l’économie spéculative en détruisant mettant à mal leur gestion et en les obligeant à recourir à des emprunts dont avait absolument besoin un secteur financier qui s’auto-asphyxiait avec des taux négatifs

ce n’est pas le New Deal qui avait fait redémarrer l’économie américaine après le krach de 1929, mais le lancement d’une production industrielle massive destinée à l’entrée en guerre et financée par l’état (les impôts), et, cerise sur le gâteau, le plan Marshall qui a endetté les alliés en lambeaux (alors que le territoire américain est resté intact) et les a définitivement enfermés dans une dépendance dont ils ne peuvent plus sortir

ce que nous vivons est un simulâcre de ces deux phénomènes

Macron qui ne peut pas tenir sa langue a laché le morceau dès le début quand il a dit et répété qu’il s’agissait d’une guerre

dans tout, les question liées à la perte de crédibilité de la médecine ne sont que des dégâts collatéraux


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