velosolex velosolex 20 septembre 2020 15:11

La sécheresse condamne de plus en plus les arbres. Les feuillus, parfois centenaires, ne résistent pas. Ils parviennent à puiser dans leurs réserves et a étayer la catastrophe un an, deux ans, trois sans doute, en sacrifiant leur feuillage prématurément pour tenir le coup, puis s’affaiblissent

Ils sont alors la cible de vers, de parasites, de bactéries, contre lesquels, en temps ordinaire, ils résistent facilement. Alors se met en place ce mécanisme mortifère qu’on connait bien dans les hôpitaux, quand l’organisme s’épuise. Mais il s’agit là de maladie individuelle, pas de systémie. Notre espèce on le sait n’est pas menacée. Enfin si. Mais pas dans le très court terme comme les arbres ou les baleines, par exemple. C’est ce qui compte pour nos politiques, qui ne voient pas plus loin que le bout du nez de leur portefeuille, d’actions, et d’élu...

Les baleines sont prises dans les mêmes mécanismes létaux ; Moins de poisson, plus de poison, plus de pollution, moins d’oxygène, plus de plastique. Les migrations leur deviennent difficiles. Elle s’épuisent à trouver leurs ressources, perturbés par les champs magnétiques de la 4G en attendant la 5....De toute façon elles ont donné déjà leur huile aux lampes. Elles ne sont plus assez nombreuses pour nous éclairer. Macron pourvoira !

La même chose que les oiseaux migrateurs….Les arbres voudraient bien migrer, une des défenses qui leur est permise. Mais cela suppose des crises climatiques gérables, comme celles du passé, où les espèces parvenaient à remonter lentement vers le nord, au prix d’un kilomètre par an à tout casser.

Là il faudrait que les arbres prennent leurs jambes à leur cou. On n’y parvient pas nous mêmes, alourdis par nos tronçonneuses trop lourdes.


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