Bonjour, gruni
Eu égard à l’état de la gauche et aux rivalités d’ego qui la minent, il est en effet probable que « sauf un autre séisme politique pour bouleverser la donne, on va sans doute rejouer la même finale qu’en 2017 ».
« A droite, certains rêvent également d’une vie de château, mais pour eux une défaite n’en serait pas vraiment une, car il y a déjà un président de droite à l’Elysée »
C’est l’évidence même. Et comment s’en étonner dans un pays dont le centre de gravité politique dérive de plus en plus vers la droite ?