@eau-pression
C’est, bien entendu, essentiellement des analyses bio-informatiques, donc sur ordinateur. On va rechercher des modifications des séquences du SARS CoV2 et des séquences non SARS CoV2 au niveau de la jonction entre ces sequences pour repérer ce qui pourrait provenir d’une recombinaison faite en labo.
Comme pour toute manip, le problème est que l’absence de preuve n’est pas la preuve de l’absence, c.a.d. que même si l’on en trouve rien, ce qui est le cas aujourd’hui, la rumeur pourra toujours courir. C’est aussi pour cette raison que la recherche d’un — éventuel — hôte intermédiaire est critique...