Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 11 novembre 2020 14:24

@Sarah Juste Je comprends très bien, la synchronicité relève du divin. Toutes ne sont pas bonnes (du moins, dans un premier temps,...parfois avec le temps on se dit que certaines rencontres nous font grandir : exemple : apprendre ce qu’est la perversion narcissique et l’a repérer...). On me fait souvent remarquer que je vois des synchronicités partout (ce n’est pas vrai,...). Mais une certaine sensibilité, intuition m’ouvre à ce genre d’expérience. Une histoire qui m’est arrivée l’année passée dans un moment douloureux (la perte de mon compagnon Olivier décédé d’un cancer du poumon, j’avais l’impression de perdre mon bras). Et pourtant, si on se lie avec le monde d’agréable et étra « anges » surprise se présente sur votre route. J’avais une cousine dans mon enfance qui fut chaque fois présente au moment d’un deuil. En mai, l’année passée, à l’arrêt d’un tram (dont le nom à une lettre près est celui de ma cousine Martine), je vois une femme et lui : c’est fou comme vous ressemblez à Françoise Nyssen. On engage la conversation. Elle me dit être psy et qu’il faudrait peut-être se revoir. Je lui donne mon numéro de téléphone. Elle me téléphone le lendemain et se présente : je m’appelle MARTINE. Ce n’est pas fini. Elle m’invite chez elle à deux pas... CHOC : elle habite dans l’appartement juste au dessus de celui que j’habitais en 1988-89. Tous les souvenirs de cette époques me reviennent (justement : la rencontre foireuse avec un pervers narcissique style le film : mon Roy). Je sais qu’à ce moment j’ai appris ce qu’étais la haine : j’avais été menée en bateau ce qui n’est jamais agréable. Et voilà qu’au dessus cet appartement, trente ans après, je rencontre une grande amitié. Martine m’a accompagnée durant tout mon deuil. Depuis lors, j’ai appris une chose importante. Même dans le mal il y a du bon. Ou alors : vous n’aurez pas ma haine...ET cela fonctionne... Je n’aime pas tout le monde. Je sais qu’en moi une force plus grande s’est logée : de l’amour en acier indestructible. 

Martine est une vierge martyre, ayant vécu au iiie siècle, considérée comme sainte dans l’Église catholique et orthodoxe et patronne de Rome1.

Elle n’est connue que par la légende du récit de sa vie, sans fondement historique, puisque le christianisme jouit d’une tolérance quasi officielle sous le règne de l’empereur Alexandre Sévère2.

Son hagiographie se développe au xviie siècle après la découverte de ses reliques en 16343.

Martine était la fille de nobles romains, son père ayant été plusieurs fois consul. À la mort de ce dernier, elle vendit tous ses biens et consacra cette fortune à des œuvres de charité.

Martine vivait au temps de l’empereur Alexandre qui selon cette légende persécutait les Chrétiens. Elle fut un jour arrêtée alors qu’elle était en prière dans une église, et conduite devant l’empereur. Elle fut conduite dans le temple d’Apollon afin d’y sacrifier, mais elle refusa, tandis qu’un tremblement de terre abattit le temple et la statue du dieu qui s’y trouvait.

L’empereur fit alors torturer Martine, mais elle résista et entraîna la conversion de ses bourreaux.

Elle fut déchirée avec des crochets de fer et amenée dans les arènes pour y être la proie des bêtes, mais les lions se couchèrent à ses pieds ; elle fut mise sur un bûcher : les flammes ne l’atteignirent pas mais brûlèrent les spectateurs. Finalement, l’empereur la fit décapiter.


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