Francis, agnotologue Francis 11 novembre 2020 08:52

@olivier cabanel
 
 Aussi longtemps que les responsables de cette catastrophe seront au pouvoir, un procès de cette envergure est illusoire. Mais je peux me tromper. J’espère me tromper.
 
Les juger pour ce qu’ils ont ou n’ont pas fait est une chose. Les empêcher de poursuivre leur œuvre destructrice me parait plus important.
 
Aux auteurs de l’ouvrage : «  Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise » je réponds : ils n’ont commis aucune erreur dans la mise en œuvre de leurs projets, un objectif qui n’est pas celui que nous espérions d’eux, et dans ce sens, ils fait un « sans faute ».
 
En effet, leur but n’était visiblement pas de lutter contre le virus, mais de nous amener à accepter la perte de nos libertés.
 
Le « confinement » est mal nommé : en réalité il s’agit d’un « arraisonnement » dans le sens que nous devrons désormais pouvoir justifier de notre présence dans l’espace public : cf. Les fameuses attestations de « déplacement dérogatoire »
 
 C’est un premier pas vers d’autres attestations parmi lesquelles j’entrevois la redoutable « attestation d’utilité ».
 
 
 Arraisonner un navire. Questionner le capitaine à l’arrivée du navire à un port ou procéder à une visite du bâtiment pour vérifier sa nationalité, sa provenance, sa destination, son chargement et particulièrement, en temps de paix, le nombre de passagers et l’état sanitaire du bord ; en temps de guerre, même opération au large par un navire de guerre.

 
https://lundi.am/Le-vrai-nom-du-second-confinement


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