@bubu123. En revanche, on remarque combien ce psychiatre pakistanais résista avec hauteur contre la corruption ordinaire par les pharmaceutiques :
http://citoyens.deontolog.org/index.php/topic,491.0.html
Un résistant, ça tranche dans le paysage.

Depuis une vingtaine d’années, nous sommes plus d’un à remarquer combien les rédacteurs du DSM sont pilotés de près par les firmes pharmaceutiques, qui vont jusqu’à modeler la nosographie pour leurs intérêts.
En 2004, lors d’un mémoire de maîtrise, j’avais remarqué combien la moisson documentaire était maigre, en neuro-endocrinologie des perversités et paranoïas... Pardi ! Les pharmaceutiques ne font pas de fructueux blé avec eux. Il n’y a donc pas d’argent pour ce genre de travaux. En revanche, si l’on interroge pour les dépressions ou la schizophrénie, là on croule sous la doc, là il y a du pognon en amont.