Salut Gabriel
Ah l’éternité,
tentante, si elle n’était pas si longue…
Ce qui dérange
dans le suicide (en dehors des dogmes religieux évidemment) c’est je crois, le dernier acte de liberté qu’il représente, du
moins dans ce monde ci, puisqu’on ne choisit pas ses parents, son sexe (à la
naissance), sa couleur de peau, son lieu de naissance… donc que reste-t-il comme
libre choix dans cette vue bien linéaire ? notre heure de départ, comme ultime pied de
nez (je ne glorifie pas le suicide, j’essaie de comprendre)
Je vois la mort
simplement comme le début d’une nouvelle aventure...