@nono le simplet
Salut
Je suppose que c’est de doctorix et de son élixir empoisonné que tu parles (pour une raison étrange je pense toujours à l’album de Lucky Luke : « L’élixir du docteur Doxey » lu quand j’avais dix ans,...
Mine de rien Morris donnait une image assez juste de l’ouest, de la frontière, et des agités du bocal, qui ont toujours sévi la bas. 
Le docteur Doxey est fondé sur un stéréotype populaire des histoires du vieil Ouest américain : celui du charlatan qui vend de faux médicaments prétendus extraordinaires à un fort prix (ils étaient à l’époque surnommés « snake oil » — huile de serpent). 
L’album « Le juge » Lynch, pour ne pas le nommer, et qui a donné son nom à cette sympathique tradition mettait aussi au parfum de la curieuse conception de la justice aux states, ou le sheriff est élu par la population. 
Morris n’a pas traité du lynchage des noirs, les plus décomplexés, et qui ont abouti dans des villes à des destructions entières de quartiers.