Fergus Fergus 27 février 2021 11:18

Bonjour, Monolecte

Joli texte !

Je comprends votre grand-mère. Certes, commencer par la fin d’un polar n’a guère de sens dans la mesure où ce genre de livre est en général bourré de fausses pistes.

Mais il n’en va pas de même dans la littérature classique où, comme vous le soulignez, c’est le chemin qui importe.

C’est pourquoi il m’est arrivé, avec ce genre d’ouvrage, de lire  outre la première page les derniers paragraphes. C’est à Victor Hugo que je dois d’agir parfois comme votre grand-mère. Et plus particulièrement à l’épitaphe de Jean Valjean qui, plus qu’un long discours, donne une envie irrépressible de lire Les misérables :

« Il dort. Quoique le sort fût pour lui bien étrange,
Il vivait. Il mourut quand il n’eut plus son ange ;
La chose simplement d’elle-même arriva,
Comme la nuit se fait lorsque le jour s’en va
. »

 


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