J’ai au moins plusieurs explications. Primo, celle de prendre l’enfant comme une fétiche qui compense notre vide. Dans les anciennes civilisation, la vie étant plus courte, le besoin de se reproduire s’inscrivait surtout dans le désir d’avoir une filiation. L’hyperactivité et c’est démontre pas des études de psychologues est justement liée au fait que l’enfant ne veut pas être un objet formaté et conforme. Tellement notre société est uniformisante. Ce une « pathologie » de la société, pas personnelle. Les personnes de notre époques. Ceux qui vont bientôt partir. avait eu cette chance d’avoir vécu des épreuves (celle des drames de la guerre,...). Et face à une épreuve, l’individu à dans le meilleurs des cas envie de s’élever, se verticaliser, comprendre. Mais les valeurs d’aujourd’hui ont changé. Il ne s’agit plus d’être VRAIMENT le meilleur, mais d’être riche et connu, peu importe les moyens. Au nom de l’égalitarisme, les diplômes sont distribués comme des bonbons. ET comme les enseignants sont usés (rares sont encore ceux qui ont « la passion » comme dans le film : les choristes). Et quand on est épuisé, on se met en mode : automatique....Faire comme les autres et surtout sans se poser de question. Finit le temps des belles gueules d’amour : Bourvil, Gabin, Fernandel. La norme, c’est le lissage. J’aime même lu un « psychologue » (insistons sur les guillemets, que la femme idéale avait les mensurations de Barbie... Si, si, et cela passe dans les médias...et les jeunes filles lisent avalant toutes ces conneries en mâchant des bonbons Princess Disney (si si). C’est bien la société liquide décrite par Bauman et probablement liquidée (merci Messieurs dames, vous auriez pourtant dû enregistrer la leçon de quarante-45. Seule le roc résisté. Et la pierre est d’autant plus précieuse qu’elle à résisté à l’érosion. L’étymologie de Pierre : celui qui porte le monde. Maintenant c’est le monde qui porte l’enfant. Et cela commence à faire lourd...pour la bio-diversité