Bonne analyse.
Il ne faut pas oublier que l’inflation est aussi une manière de déprécier un artéfact.
Le niveau de l’intérêt est relié à la conjoncture. Une période d’instabilité que nous connaissons avec taux proches de 0% limite les achats dans l’attente que les prix vont encore baisser par la déflation.
Donc, il faut un peu d’inflation sinon, les stocks vont grossir.
Cela n’a évidemment rien à voir avec l’inflation que nous avons connue en fin du 20ème siècle qui offrait facilement du 10% d’intérêt et donc une diminution artificielle du capital pour maintenir un équilibre bilantaire.