francoisD 4 mai 2021 21:15

@CYRUS
Ce qui suit va peut-être vous rassurer.
ARN MESSAGER
Le vaccin à ARN messager ne contient pas d’aluminium.
Les connaissances biologiques actuelles permettent de conclure que l’ARN messager ne peut pas aller dans le noyau cellulaire et modifier l’ADN de ce dernier.
Rien à voir avec la thérapie génique qui vise à modifier notre ADN pour réparer un gène défectueux https://www.inserm.fr/information-en-sante/dossiers-information/therapie-genique.
Pour produire l’ARN MESSAGER, on définit la composition précise en acides aminés de la protéine contre laquelle on veut vacciner. On en déduit la séquence ADN qui lui correspond. C’est à partir de cet ADN que l’on produit l’ARN in vitro, en dehors de toute cellule. Les réactions biochimiques ont lieu dans un système acellulaire, ce qui facilite leur production et exclut tout risque de contamination par un éventuel agent infectieux intracellulaire (bactérie, virus, traces provenant du milieu de culture), contrairement au vaccin vectoriel ou au vaccin à virus atténué ou inactivé. https://ducotedelascience.org/laventure-scientifique-des-vaccins-a-arn-messager-realites-biomedicales/
Pour le vaccin contre le Covid-19 on fournit le « plan de fabrication » de la protéine spike à nos cellules, via l’ARN messager. Et ni le noyau, ni l’ADN de nos cellules ne sont modifiés, car les « usines » de production sont situés en dehors du noyau et l’ARN messager ne peut pas être transformé en ADN.
Le plan que transmet l’ARN messager ne sert qu’une fois, puis est détruit (durée de vie de l’ARN messager dans notre organisme : quelques heures ).Ceci permet d’exclure les effets secondaires qui surviendraient 5 à 10 ans après l’injection du vaccin.
L’ARN messager est connu depuis longtemps (1960, découverte par des chercheurs français) et utilisé depuis longtemps, notamment dans le monde vétérinaire.


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