@pipiou2

ça fait donc moins de 99,9 % de survivants (beaucoup moins en fait).

donc pour vous, 0.05 % de plus, c’est beaucoup plus que 0.1 % d’une population qui voit environ 1.2 % de sa population mourir chaque année ?

Cela dit, le chiffre du tableau de l’article ne considère sans doute pas le nombre de 100 000 morts, mais plutôt celui auquel on aura voulu enlever les morts de la grippe et autres comorbidités. Le seul chiffre qu’il soit possible de retenir en l’état, c’est l’écart relatif du nombre de morts entre une prévision statistique ne tenant pas compte du covid et le nombre réel de morts.

Et là, on arrive à 50 000 morts dans la fourchette haute et autour de 40 000 dans la fourchette basse. Ce qui se rapproche alors du chiffre du tableau

Quant à nono qui affirme péremptoirement que « grâce à la vaccination, ce ne sera pas un tsunami »,il n’imprime pas, il pré-imprime.

Ou bien, il a les bons chiffres sur les taux de contaminations entre vacciné et non vacciné d’une part et sur le niveau de gravité et nombre de décès (vaccinés/non vaccinés) d’autre part.

S’il ne les a pas, cela veut dire qu’il oubli la même prudence qu’il reproche de ne pas avoir en ce qui concerne l’évolution des admissions à l’hopital, en raison du « décalage ».

restera encore à vérifier le risque à moyen et long terme de ce type de vaccination, surtout si elle devient récurrente.

En l’état actuel, faute de recul et de certitude médicale suffisante, une étude quelconque est une projection, un pari sur l’avenir à quitte ou double. Sauf que là, on est dans le libre choix personnel où la notion de responsabilité ne peut pas être invoquée, car cette dernière ne peut l’être que s’il y a connaissance irréfutable de l’absence de risque collectif, c’est à dire, où le bénéfice attendu par la collectivité est supérieur aux conséquences négatives.