Bonjour, Aristide
Je vous concède bien volontiers que le mot « absence » est excessif pour les médias ; c’est pourquoi je le remplace par « faiblesse », la majorité des médias étant concentrée dans les mains d’oligarques le plus souvent complices des partis dominants.
En revanche, je maintiens le mot « absence » pour les citoyens, nulle instance dans notre constitution ne leur donnant l’accès à une parole publique officielle, ni le moyen de récuser des textes inacceptables par voie référendaire (hors domaine réservé).