I.A. 5 octobre 2021 19:01

@pipiou2

Ah, cette réaction est un indice sur ta profession, demi-pipiou...

Relis donc :

• par l’hystérie médico-médiatique, laquelle a paniqué tous les malades chroniques habitués des urgences, du 15 et du 18

• par l’interdiction faite aux médecins de ville de traiter ces patients avec les molécules de leur choix

• par l’obligation de déclarer tout patient Covid positif (donc interdiction de les soigner comme on soigne une grippe)

• par la gratuité et l’omniprésence des tests de dépistage, peu fiables par ailleurs, qui ont paniqué les positifs (puisque « contaminé » signifiait « malade », voire « bientôt mort », pour les autorités), à fortiori les personnes porteuses de comorbidités.

• par la facilité avec laquelle, dans les hôpitaux, les décès avec polymorbidités ont été étiquetés mort du Covid plutôt qu’avec le Covid.

À ce stade, ce n’est pas un afflux, ce n’est ni plus ni moins qu’une nasse…

J’ai accueilli l’un de ces patients-là, totalement aliéné par la panique : c’est en se forçant à tousser et à cracher jusqu’à en perdre le souffle et la salive, qu’il s’imaginait se débarrasser du diabolique virus...


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