On a dit que c’était un débat de premiers ministres.
C’est faux, et Ségolène Royal, qui avait préparé un débat de présidentiables, est tombée dans un piège, dont elle s’est sortie fort bien.
Quel était le piège ? Sarkozy n’est pas un vrai présidentiable, et la démonstration en a été faite : il s’est présenté comme un bon élève, calme et gentil mais prometteur, il s’est présenté en candidat premier ministre.
Qui est le vrai Sarkozy ? Celui qui harangue les foules en s’adressant aux instincts les plus bas, ou l’hypocrite qui n’ose pas regarder la maîtresse en face, tout en lui donnant en douce, des coups de pieds de l’âne ?
Qui imagine un individu pareil dans les instances internationales pour représenter le France ? A part pour trahir, comme il l’a déjà fait ?