@Buzzcocks
 « il faut accepter des contreparties, mettre une ceinture, mettre une capote, se vacciner contre le BCG, et même le covid. »

Oui ! mais avec un vrai VACCIN (au sens de sa définition) ! Voyez vous cher monsieur, une ceinture de sécurité c’est une ceinture de sécurité. On peut tirer dessus, on peut éprouver ses attaches, sa solidité... et même si elle préserve que des cas graves elle peut même parfois étrangler celui ou celle qu’elle est censée protéger. On l’accepte car on comprend qu’elle peut éventuellement nous sauver de l’écrasement avec l’air bag. Quant au vaccin, nada, que dalle, on ne sait rien. Les contrats avec Pfizer sont opaques et interdits aux représentants du peuple, personne n’est responsable des effets secondaires, les modalités techniques évoluent à la vitesse de la lumière : Température, délais entre les injections, mélange autorisé, voire conseillé, des différents types de vaccins sans essais cliniques... La marque « Vaccin » est galvaudée et on trompe les chalands. Une substance qui pénètre vos cellules pour les paramétrer à produire une protéine qui est sensée interdire approximativement et brièvement la reproduction d’un virus, ne peut pas être considérée comme un vaccin. De plus son efficacité est lié à tellement de paramètres qu’on ne pourra jamais prouver son efficacité : évolution naturelle de l’épidémie, niveau de contagiosité, âge de la population, comorbidités, climat, saisons, ville/campagne, masqués/pas masqué, nombre de doses, nombre de personne piquées, stress, effets placebo, nocebo, réaction individuelle... Voyez vous le beaujolais nouveau risque de me provoquer des brûlures d’estomac mais je peux le vomir, votre injection, non. Et pourtant on a du recul avec le Beaujolais. (1953)