PascalDemoriane 25 novembre 2022 16:23

@ Madame Adèle Coupechoux
Vous parlez de ces « marche » blanches« médiatisées qui moi, me choquent ! Pourriez vous éclairer votre point de vue critique, le préciser.
D’une façon générale j’essais de travailler dans le d’une double approche, psychologique individuelle et sociologique collective. C’est pas facile et on est pas aidé ! Vos contributions m’aident souvent.

A propos du chaton  »Certains se sont reconnus dans sa peine. Dont moi." dites vous.
Evidement, dont vous, moi, d’autres ! C’est le propre de l’humain d’expérimenter cette peine, cette épreuve affective. La question n’est pas là, elle est de mesurer jusqu’où s’arrête l’intime et où commence le champs public, l’obscénité du spectacle, l’exhibitionisme émotionnel. Car le pouvoir lui, et la marchandise, elle, savent très bien se faire intrusifs dans l’intime, s’y faire admettre, y compris par le biais de l’émotion, vous l’avez compris.
Et savent très bien convertir une motion collective politique menaçante en motion collective émotionnelle inoffensive : la marche blanche justement !
Tout se tient.
La culture de l’émotion-compassion est un opium addictif de castration politique.
On commence par pleurnicher sur les chat, on fini par pleurnicher sur les humains dans le renoncement compassionnel à toute résistance !


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