Pour le coup, si les abattoirs étaient ouverts au public, cela satisferait le public amateur de mise à mort d’animaux.
Quelques gradins, un guichet, des recettes partagées entre l’établissement et la filière tauromachiste-machas—
Fin des polémiques, spectacle gore en continu (combien couterait un rituel sacrificiel de 20 taureaux pour les aficionados aux goûts raffinés), exploitation bénéficiaire (non subventionnés comme à l’heure actuelle).
Un défi lancé à Salvador,
pus 1 habit de lumière sur mesure ainsi qu’ un jerrican de sang frais (5l) attribués en prime en cas de succès.