@troletbuse (commentaire 11:12)
Si la surmortalité 2022 était principalement due aux effets de la vaccination effectuée en 2021, cela auraient été réparti sur toute l’année, or les chiffres 2022 présentent deux pics sensibles, lors de la canicule (moins qu’en 2003, mais significatif) et en décembre (maladies respiratoires).
On a cependant une alerte sur le taux de mortalité dans la jeunesse, naturellement peu élevé en absolu donc les variations sont visibles en observant par classe d’âge, même si l’influence apparait peu dans la mortalité globale. Il est possible qu’il s’agisse d’effets secondaires néfastes de la vaccination, une étude en fonction du statut vaccinal est indispensable, et en attendant suspendre la vaccination pour ces classes d’âge (comme cela avait été fait pour Astrazeneca et Jenssen)
Concernant le vaccin, il se confirme que son efficacité n’a été ni durable, ni performante contre omicron.