@jjwaDal
il s’agit bien de ça : les populations de vivants, dont une grande masse est décrétée « sans valeur économique », est la matière première, le carburant « bon marché » pour l’instant, consumé pour faire tenir ce système-monde se condamnant au mouvement perpétuel avant son auto-combustion globale, selon une spirale de « croissance », d’accaparation, d’accumulation et de prédation se voulant sans fin...