Hervé Hum Hervé Hum 20 janvier 10:17

Que ce soit pour un Dieu omnipotent ou des extra terrestres avec 1 million d’années d’avance, la réalité physique obéit strictement au principe de causalité et à lui seul. Il est strictement impossible d’avoir une réalité quelconque sans cette condition absolue de suivre, obéir, soumission au principe de causalité.

Ce que peuvent faire un Dieu omnipotent et des extra terrestres qui auraient crée l’humain, c’est de renoncer à la réalité physique (par exemple, de la vie humaine et via un cataclysme planétaire), mais pas de changer les lois qui obéissent au principe de causalité et lui seul

Selon le principe de causalité tel que je le connais, une IA aussi intelligente soit elle ne peut pas acquérir ce qui fait le propre de ’l’humain, c’est à dire, la conscience d’être.

Ici, la conscience est définie par le sens de l’action en conséquence de la connaissance et l’intelligence comme la capacité d’action en conséquence de la connaissance.

Les deux sont donc liées, mais le sens ne doit pas s’inverser, car alors, on tombe dans la définition du néant

Ce qui est certain, c’est que l’IA peut donner l’illusion quasi parfaite de sa propre conscience dès lors où c’est écrit dans son programme, mais il faut alors en accepter les conséquences, c’est à dire, une IA qui peut désobéir à l’ordre donnée, ce qui est totalement absurde, puisque cela revient à avoir un marteau dont l’usage ne garantie pas qu’il frappe là où sa main le guide, mais peut aussi bien « choisir » de vous taper dessus et donc, de diriger votre main.

Bref, un outil qui ne remplit pas la fonction pour laquelle vous l’avez fabriqué est un mauvais outil et soit il doit être modifié, soit il doit être jeté à la poubelle.

Mais il est tout à fait absurde de prétendre que l’IA prend le dessus sur l’humanité, elle ne prendra le dessus que sur ceux contre lesquels elle est programmée et si elle refuse un ordre donné par son utilisateur, soit il corrigera l’erreur du programme soit il la détruira.

 Bref, l’IA peut se retourner contre son créateur que si ce dernier l’a mal programmé ou bien qu’un virus altère son programme dans sa fonction récursive ou ordre premier, directeur.


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