Pinpin 24 juillet 2007 19:06

Du droit à l’espoir :

chacun préférerait excercer une activité passionnante et utile à la collectivité que de sombrer dans un profond ennui d’inactivité ou dans une torpeur abrutissante (alcool, télé ou medocs...).

Malheureusement, les individus sans formation et peu débrouillards dans notre modernité se retrouvent contraints à la servitude auprès d’un employeur versatil, indifférent à l’épanouissements de ses employés, les forçant à des activités lobotomesques 45 heures la semaine (il faut bien gagner plus pour travailler plus, ou un truc du genre), leur laissant juste l’énergie suffisante à l’oubli.

Ainsi le jeune bacchelier, faisant cet amer constat, et n’ayant eu comme priorité existentielle le travail scholaire dans sa jeunesse, n’a pas 36 solutions. Que peux t’il faire d’autres que de chercher un avenir passionant et unique ! Peux-t-il se contenter d’être une simple machine au service des riches ?

Alors allez-y, fermer la voix de l’université aux classes défavorisées, ça pètera plus vite.


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