claude claude 17 janvier 2008 18:26

lerma a raison ! smiley

brûlons tous ces livres écrits par des crypto-communistes fumeurs de hachich et sniffeurs de marijuana !

comme l’écrivent justement ces philantropes de www.libres.org/main.htm :

L’ECONOMIE AU LYCEE : C’EST LE PROGRAMME D’ATTAC

###""L’IFRAP publie régulièrement d’excellentes études. Celle qu’il vient de faire paraître sur son site, sous la signature d’Alain MATHIEU (Société civile N°33) est particulièrement bienvenue, car elle est consacrée à la désinformation dans l’enseignement de l’économie dans les lycées. Au moment où certains attaquent le jury d’agrégation d’économie pour « ultralibéralisme », il faut voir au contraire comment l’enseignement de l’économie est la chasse gardée du marxisme. (...)

Voilà de quoi former de bons militants d’ATTAC. Et le plus scandaleux n’est pas à nos yeux les manuels, mais les programmes approuvés par le gouvernement, puisque publiés au BO. Il est vrai que les finalités de cet enseignement sont bien définies par ce Bulletin Officiel de l’éducation nationale « concourir à la formation du citoyen » (pas préparer les élèves à la vie en entreprise, bien sûr, ce serait faire le jeu des patrons). Mais quel citoyen veut-on former ? Celui qui votera à gauche, fera des analyses marxistes, adhérera à la CGT et militera à ATTAC ? Tout un programme. Merci à l’IFRAP de nous avoir rappelé ces vérités indiscutables. Bien entendu, le scandale, c’est la main mise des libéraux sur l’agrégation d’économie, n’est-ce pas ? Rien à voir avec la formation du citoyen si bien faite dans les lycées. Car, elle va dans le sens de l’histoire. "" ###

ciel ! nos chères têtes blondes seraient aux mains d’un grouspuscule de marxo-lénino-troskystes ! 

josé bové serait-il consultatnt occulte de l’éducation nationale ???

 

alors je suis allée voir les programmes de la seconde à la terminale :

et voici ce que ça donne en cryto-attaco-communiste :

""" (...)

1.3.2 - Accroître toujours plus le PIB, cela a-t-il toujours un sens ?0[0]

Quand on pose la question ainsi, il y a en fait quelque chose qui est sous-entendu : du sens à quel point de vue ? En réalité, la question qui se pose est de l’ordre du jugement : un pays, une société font-ils bien de chercher à obtenir la croissance la plus rapide possible ? Autrement dit, plus de croissance est-ce plus de bien-être, des progrès équitablement répartis entre les membres de la société, par exemple ? On se rapproche donc de la question du développement que l’on a déjà un peu abordée dans l’introduction. (...)

  • Croissance ou développement ?
    Le P.I.B. est un indicateur économique, mais il n’inclut pas un certain nombre d’activités essentielles pour le maintien des solidarités entre les membres d’une société, en particulier des services. La richesse d’une nation, est-ce seulement les richesses matérielles qu’elle réussit à produire ? C’est un peu ce que laisse croire le calcul de la croissance à partir du P.I.B. Mais n’est-ce pas aussi l’état de santé (y compris mentale) de la population, son niveau d’instruction, la qualité des rapports sociaux entre les membres de la société, ou d’autres éléments ? Le problème est que ces éléments ne se laissent pas facilement mesurer. Pourtant on sait bien que la qualité de la vie est aussi importante que la quantité de biens dont on dispose (mais les deux ne sont pas indépendants l’un de l’autre, évidemment). Le P.I.B. n’est pas un indicateur de bien-être. (...)


  • La croissance économique n’est donc pas forcément le développement et si l’on veut parler de développement, sans doute vaut-il mieux utiliser l’I.D.H. comme indicateur ainsi que le fait le Programme des Nations Unies pour le Développement (P.N.U.D.). [Vous trouverez la présentation de cet indicateur à la notion « IDH »]. Or, le classement des pays selon l’I.D.H. ne donne pas le même résultat que celui selon le P.I.B. par habitant : (...) Le niveau des richesses matérielles produites et sa croissance ne sont donc pas le seul indicateur pertinent de l’amélioration des conditions de vie dans un pays.(...)
  • La question de la répartition des richesses.
    Enfin, on peut souligner que le P.I.B. par habitant n’est qu’une moyenne statistique. Comme toutes les moyennes, il gomme les disparités. Savoir qu’un pays a augmenté son P.I.B. de 3% dans l’année ne nous dit rien sur ce que l’on a fait de cette augmentation.(...)


  • Conclusion : un taux de croissance élevé (du PIB) n’est pas forcément synonyme de développement du bien-être collectif. Il faut cependant dire et répéter que la croissance des richesses produites est un formidable levier pour améliorer le sort de tous. Mais cela ne se fait pas sans des choix politiques qui disent clairement comment la croissance doit être utilisée ou au service de quels idéaux collectifs elle doit être mise. Il ne faut donc pas avoir le fétichisme du chiffre : 2% de croissance qui profite à tous, c’est peut-être mieux que 3% accaparés par quelques uns. (...) """###

mon dieu ! voilà qu’on apprend la solidarité à nos enfants ! vivement que l’expérience dont nous parlait la taverne hier, soit génralisée, afin que nous puissions telle une seule voix honorer nos entrepeneurs et regarder tf1 !!!!

En lisant cet article,nous voyons bien que ’le rédacteur’ ne connait rien au monde de l’entreprise,particulierement des PMI PME et TPE et encore moins à la bureaucratie comme un electeur au milieu d’images des persécutions gauchistes qui met en lumière toute la nullité de l’immonde opposition sans reconnaître une telle évidence, c’est que de toute évidence un cerveau dérangé par la haine. ( asgsystm.free.fr/ ) merci gasty !!! smiley

 


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