Roland Verhille Roland Verhille 10 avril 2008 14:27

À Gilles,

Merci d’avoir lu, vous me le prouvez par les extraits que vous citez.

Mon texte ne vous a pas plu. Votre réplique me montre que c’était couru d’avance. Mais je ne vous ai pas trompé ni pris en traître, dès le début de l’article, j’ai écrit qu’il n’était pas pour vous. Alors, que venez vous faire ici à me chercher querelle ? Continuer à tromper tout le monde en essayant d’imposer vos vues en criant plus fort que les autres quand vous ne pouvez pas les bâillonner ?

Car vous, au moins c’est clair, au diable la déclaration de 1789 ! C’est la vôtre qui compte.

Vous aussi, vous prenez les travailleurs pour des imbéciles incapables d’arranger avec leur employeur une collaboration équitable. Vous, ce que vous voulez, ce ne sont que des « rapports de force », en embrigadant de force les travailleurs dans votre guerre contre les employeurs. Les résultats sont aujourd’hui évidents.

Et vous avez bien dit, votre état à vous, c’est celui qui « mutualise » tout (vous n’utilisez pas le mot exact, « collectivise », de façon à tromper les autres). Ce n’est pas du tout ce qu’a énoncé la déclaration de 1789 que vous envoyez au diable.

 


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