Un journaliste ne sert à rien dans un journal appartenant à des marchands d’armes ou autres banquiers, dans un journal financé par la pub. Le journaliste y est précarisé pour devenir un bon toutou !
Du journaliste précarisé au collabo il y peu.
Surtout quand on sort d’écoles de journalisme ou l’apprentissage est axé sur la vente et non le journalisme.