D’ailleurs, dorénavant, Peripate, fidèle à ses convictions, a décidé :
- de ne plus rouler sur les routes construites par l’état
- de ne plus jamais prendre le train
- de ne plus jamais recevoir ou envoyer de courrier par la poste
- de ne plus se servir de l’électricité : monopole -beurk- d’état
- de ne plus jamais aller à l’hôpital se faire soigner
- de ne plus accepter ni congés payés, ni retraite
Plus jamais d’état !
Il est emmerdé pour savoir où aller vivre, car, même les iles les plus reculées appartiennent toujours à un état ; donc, il va vivre sur un bateau, au large, au delà des eaux territoriales !
Bon vent, Péripate !