N.E. Tatem N.E. Tatem 13 août 2008 22:08

Salut à tous.

Je crois que le débat est vraiment constructif. Il y va de la république et son, je dirais par humour son logo textuel, son mot d’ordre : LEF (Liberté Egalité Fraternité).

Et dans cette république il y a des procédures, comme des "Hics" désordonnés, héritées d’une bureaucratie légendaire pour ses réflexes dégradants. Un intervenant dans ce forum a soulevé le couvre-feu qui a été comparé, lors de sa dernière institution pour Villiers-le-Bel, à une pratique de l’ère coloniale. Une république qui se respecte pour sa gestion à la fois ferme mais aussi et surtout équitable -SANS disparité entre les humains et les régions (entendre le lieu qui a été exclusivement par le couvre-feu ), n’a pas besoin d’un Etat d’Exception comme le couvre-feu.

La question se pose désormais depuis quelques années, en ce qui concerne la réaction disprotionnée et manipulatrice des médias traditionnels.

Dieu MERCI ! Des canaux comme AGORAVOX arrivent à offrir aux citoyens de nouvelles lectures, libres de l’esprit où il faut suivre une ligne (éditoriale disent-ils) de conduite ancrée dans le système inadapté aux nouvelles époques. Epoque où un black, alias Barak Obama, convoite le bureau ovale de la Maison Blanche. Car en France, l’Obamania soulève l’arrivée aux hiérarchies de citoyens ayant la particularité d’être de la modernité basée, non pas sur l’économie, la société multiéthnique...

Ces nouveaux organes participatifs, insistent sur leur caractère citoyen donc constructif, appartiennent à une ère de la vérité entière et non tronquée.  Ils apportent à la république, au sens grecque et contemporain du terme, la touche manquante que l’information échappe souvent à ceux qui la font dans leur profession. Il ne leur est pas possible d’être partout. 

Et plus encore, comme AGORAVOX, ils projettent des interprétations marquées du socle d’indépendance du système, déjà ancien grâce au Web, et qui ne peut les formuler autrement. Tradition de la maison oblige.

Pour le cas de Mr. Noureddine Rachedi, je relève une certaine gravité et même des restrictions. Il s’agit d’un type de 30 ans, un statisticien et un être vachement intégré dans un pays où il a ouvert les yeux.

Et son agresseur aussi me tracasse l’esprit avec une profonde pitié ressentie comme un fardeau sur ma conscience. Telle que pour Rudy ainsi que les jeunes qui ont été condamnés dans son affaire, j’ai une amère sensation qu’ils ont commis des erreurs pour lesquels ils n’ont rien prémédité. J’ai cette douleur intérieure parce que je crois fermement que je les comprends et je défends leur innocence qui a dérivé. Il s’agit de jeunesse... Noureddine Rachedi est trentenaire.

Cependant, comme je l’ai dit dans le sujet, les médias, les intellos, les politiques, les manifestants de tous bords… sont à plaindre. Il a fallu à Noureddine Rachedi de trouver tribune, comme je l’ai précisé, dans et auprès des cercles restreints et communautaires pour se faire entendre.

Eh ! Oui ! Ceux qui n’ont pas de barricades pour se faire entendre des dieux, ils ont la sédition pour saccager avec des tintamarres et du feu… Une expression bien noyée dans l’anarchie, loin d’être parfaite par les processus organisationnels qui lui donnent la qualité et la meilleure finalité.

Cordialement.


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